Jas :
1. Gîte. Petite maison bergère en pierre sèche réchauffée de soleil.
2. Joug.Bras transversal qui redresse et équilibre une ancre de marine.
« Les ancres à jas peuvent avoir des proportions différentes. Certaines sont trapues ; elles sont alors très solides. D’autres sont fines et grandes : elles sont plus fragiles, mais leurs pattes trouvent plus facilement le sol ferme et s’y enfoncent profondément » (Le Nouveau Cours des Glénans, Le Seuil, 1995, p. 416).
Sauvage :
non encore apprivoisé(e).
Éditions Jas sauvages :
à l’horizon de l’être humain, la terre et la mer apprivoisent leurs ressacs et leurs écueils par la grâce du poème et les essais de la pensée.
LES ÉDITIONS JAS SAUVAGES SONT UNE MAISON INDÉPENDANTE
QUI PUBLIE CINQ COLLECTIONS
Les auteurs sont sollicités par les Éditions Jas sauvages qui ne souhaitent pas recevoir de manuscrits par ailleurs.
Le label « Instance de culture » des éditions Jas sauvages a été décerné aux organismes qui, depuis septembre 2018, date de la fondation de cette maison d’édition, ont accueilli au moins trois fois les auteurs de ces éditions pour une manifestation culturelle qui leur est spécialement consacrée (en poésie, théologie/spiritualité, ou comédie théologique) en tant que représentants de ces éditions. Ce label est valable 3 ans.
-Église protestante unie du Chambon-sur-Lignon
-Église protestante unie de Marseille sud-est (Espace Magnan)
-Église protestante unie de Salon-de-Provence
-Librairie Saint-Paul de Marseille
-Institut protestant de théologie de Montpellier
Organes d’information : Réforme, Forum Protestant, Échanges.
le samedi 1er avril de 10h à 12h
Espace Magnan
8 boulevard Magnan
13009 Marseille
Programme:
Les haïku d'Étienne Pfender sur le livre de Job
Les angles poétiques choisis par l'auteur.
Autres éclats de Bible et haïku variés.
le samedi 1er avril 2023
à 20h30h
Jacqueline Assaël présentera les poètes nouvellement édités aux éditions Jas sauvages
L'article ci-contre d'Olivier Millet et les deux autres reportages ci-dessus sont développés en pages 26 et 27 du numéro de décembre 2022 du journal Échanges.
7 décembre 2022
Lectures: Jacqueline Assaël, Danielle Hutter et Yves Ughes
Inga, une invitée émerveillée, venue de loin, spécialiste de poésie.
La réunion été animée par Roland Zimpfer, avec dégustation de thé, café et viennoiseries.
*
Jacqueline Assaël a présenté les activités et les productions des Éditions Jas sauvages.
Cet exposé a été suivi d'une méditation sur un texte biblique: Épître de Jacques, 1, 21-26:
Devenez poètes de la Parole!
Pour ce "Culte café-croissants", la présentation des éditions Jas sauvages a été organisée avec énormément de soin par les membres de la paroisse de Valréas. L'accueil a été très chaleureux, l'attention toujours soutenue.
L'invitation avait été lancée par le pasteur Paul Doré et elle a été prise en relais par tout un groupe de paroissiens. Rénanda et Roland fait assaut d'émulation pour cuire les viennoiseries du petit déjeuner ou composer le menu du repas de midi: riz cuit selon les meilleures méthodes asiatiques par Rénanda, lapin à la provençale préparé par Roland. Ginette a allumé les bougies, Bertrand a vérifié les conditions de la projection de textes et enrichi d'illustrations le stock de diapositives.
Une fois les aspects pratiques et matériels réglés, Roland a annoncé le sujet de la rencontre:
"Exprimer sa foi, en poésie et en théorie"
J'ai soutenu l'idée qu'un courant de pensée, quel qu'il soit, y compris spirituel, ne peut exister dans une communauté humaine que par l'expression d'une culture spécifique, toujours actualisée. Il est donc utile que le protestantisme favorise le rayonnement de ses productions spécifiques.
Ce type d'expression crée un dialogue, à l'intérieur de l'Église elle-même, entre les auteurs et les lecteurs, une rencontre réconfortante dans la foi, une clarification de l'état d'esprit de chacun, un dynamisme dans la manière de penser la foi.
Les éditions Jas sauvages ont pour ambition de faire advenir au jour des textes forts et originaux qui trouveraient difficilement des possibilités d'édition dans des circuits cherchant une rentabilité commerciale.
Des poètes de grande qualité nous ont confié leurs textes. En quatre ans, un catalogue assez significatif s'est ainsi constitué. Lors de ce "Culte café-croissants", des poèmes ont été lus, projetés et commentés dans une atmosphère de recueillement: textes de Michel Block à la recherche de sa propre prière, d'Étienne Pfender imaginant la création du monde, de Julien Petit vivant le deuil dans la foi, de Gérard Scripiec, de Jean Alexandre dont l'angelesse annonce une apocalypse d'amour, ou de moi-même, confrontée à l'un de ces mutismes que Jésus s'emploie à guérir, dans les Évangiles.
Une réflexion est par ailleurs engagée, parmi les auteurs des éditions Jas sauvages, sur l'apport que les méthodes littéraires pourraient apporter à l'exégèse des textes bibliques. Les ouvrages qui en résultent, et cette démarche nouvelle, ont suscité la curiosité parmi le public de Valréas.
Les ouvrages d'orientation humaniste, comme le Je m'appelle Jean de La Fontaine d'Alain Piolot, ou le recueil bilingue d’Yves Ughes ont aussi provoqué un vif intérêt dans cette paroisse délibérément ouverte à des publics divers, décidée développer les contacts culturels pour comprendre l'autre, établir un dialogue et faire connaître la pensée protestante.
La matinée cultuelle s'est terminée par une méditation sur un passage de l'Épître de Jacques (1, 21-26) recommandant non seulement l'écoute et l'action, mais plus précisément un accueil de la Parole en soi, et une réponse inspirée et enthousiasmée, emplie d'une énergie communicative, à la manière des poètes qui visent à transmettre les impressions et les sensations, y compris celles qui sont vécues dans le sentiment de la présence de Dieu.
Autour du stand des éditions Jas sauvages, beaucoup de soutien s'est exprimé, beaucoup de compréhension et de partage vis-à-vis des objectifs exposés; le charme des poèmes a visiblement agi et attiré des lecteurs; les essais aussi se diffusent et propagent la réflexion sur les modes de lecture à appliquer aux textes bibliques.
Un journaliste de Vaucluse Matin a pris des notes très détaillées sur les propos tenus et le déroulement de ce culte particulier.
Après le repas très joyeux et chaleureux au cours duquel les convives m'ont encore interrogée sur le travail que représente l'édition d'un livre, je suis repartie très heureuse, en tant qu'éditrice, à travers les couleurs mordorées des vignobles automnaux de la Drôme provençale, les longues barrières de cyprès crantées sur les paysages de collines, face aux dentelles de Montmirail, puis aux hauteurs blanches du Ventoux.
Un très vif merci à tous pour l'hospitalité, l'écoute et le partage.
J. A.
Avec des poèmes extraits de
- De l'âpreté des drailles
- L'humble beauté de Dieu
- Les orpailleurs de Dieu
- Frère de silence
de Jacqueline Assaël
Exposition d'aquarelles et de poèmes du 5 juin au 29 octobre
au Temple du Saint-Esprit, 21 avenir Victor Hugo à Nice
Vernissage et finissage avec conférences sur la poésie de la foi
Temple protestant, 36 rue Voltaire, 29200 BREST
Le Festival Art et Spiritualité chrétienne de Brest a réuni cette année les arts de la musique et de la parole:
ci-dessous:
- Rose Bacot qui a animé la soirée du 18 août avec un spectacle de musique Kletzmer, à la clarinette et à la clarinette basse (Sidonie) pour accompagner la lecture de psaumes en hébreu et en français.
- Gérard Rouzier qui a interprété la pièce: Ce matin, j'étais lépreux de Pascale Renaud-Grosbras (19 août).
- Le pasteur Michel Block, organisateur du Festival (avec une équipe de la paroisse Épu de Brest et du Nord Finistère), Jacqueline Assaël et Gilles Baudry dans une conférence sur le lien entre foi et poésie (20 août).
- Jacqueline Assaël dans une présentation des éditions Jas sauvages (21 août)
Photographies reproduites avec l'aimable autorisation de Jean-François BAUDET (Journaliste à Protestant de l'Ouest)
Photographies 1-3: Enjeux et fondements du Festival
Photographie 4: On prend des notes! (Raymond Dodré et Jacqueline Assaël)
Photographie 5: Deux jeunes intervenants (Jonathan Thiessen et Marie-Ève Geiger)
Photographie 6: Le stand de librairie de la librairie Saint-Paul de Marseille, tenu par Dominique Dupuy
Photographies 7-11: La représentation de Allo Bybol
Photographie 12: Visite de la crypte de l'Abbaye de Saint-Victor. Sarcophage des compagnes de Sainte Ursule
Photographie 13: Le repas aux Arsenaulx, dans le salon Giono
Photographie 14: Le repas créole dans la paroisse de Marseille Sud-Est
Photographie 15: L'exposé de Marie-Ève Geiger
Crédits photographiques: Jean-François Milou, Carine Vilto, Florence Bliek, Marie-Ève Geiger, Jacqueline Assaël
Impressions d'Agathe Bischoff-Moralès qui fut responsable du Fonds Patrimonial. Médiathèques de Strasbourg et membre du jury du prix Poètes de la Parole.
La visite de la Poésie
Pendant 4 jours, à Strasbourg, nous avons eu la chance d’avoir la visite de la Poésie… Le premier jour, elle s’était faite discrète, dans une espèce de « jas urbain », sur le quai saint Thomas, à la médiathèque protestante.
C’était à l’occasion du Prix de la poésie de la Parole.
Après la présentation brillante d’une Anthologie protestante de la poésie française par son auteur Philippe François, la Poésie vivante s’était faufilée par la voix de Jacqueline Assaël, « la bergère » de ce jas sauvage et des « prièmes » qu’elle rassemble dans sa belle maison d’édition Jas sauvages.
J’ai toujours aimé la poésie, et certaines m’ont construite et épaulée.
J’ai assisté à des dizaines de récitals et de profération, à des salons de la poésie, à des chapelets de rencontres avec des poètes.
Mais ce soir-là, à la médiathèque protestante, c’était différent.
Deux « pasteurs » de la bergerie de JA, deux passeurs et pasteurs de surcroit, étaient plus particulièrement à l’honneur, à travers la lecture de leurs textes par Jacqueline Assaël, leur éditrice : les poètes Gérard Scripiec et Michel Block.
Nous entendions – Jacqueline Assaël nous faisait entendre et comprendre – une poésie vraie et secouante qui interpelle, qui rassure, qui fait voir au loin ; la poésie nécessaire quand l’autre parole ne suffit plus, la poésie engagée et qui proteste contre notre tiédeur, notre indifférence ou notre superficialité.
C’est d’ailleurs ce que dit Gérard Scripiec : « j’ai confiance dans cette parole des poètes pour dire une terre possible, apaisée, retrouvée, attentive à la vie qu’elle sait belle et fragile »,
Une poésie créatrice telle qu’elle doit être, une poésie prière :
« Nous ne faisons plus que
Parler de Toi
Et Te tournons le dos
Comme un jeu de miroir
Les reflets de nos masques
Dans les regards des uns aux autres
Étouffent l’éclat initial
De Ta lumière »
(Michel Block)
Alors je me suis empressée d’en savoir plus sur cette poésie vraie, et j’ai découvert les poèmes de l’instigateur de ce prix de la poésie de la parole, Julien N. Petit :
« L’éternité jamais ne perpétue
Toujours réveille
Debout ! »
(Une vie à l’aube)
Et les poèmes de l’éditrice elle-même, Jacqueline Assaël :
« La poésie bat
Comme un cœur
Etreint
Des affres
Et des rythmes
Du silence
Quelquefois elle invente
Un écho juste
Où tu te tiens
Et des systoles
De silence »
(Frère de silence)
Deux jours plus tard, « La visite de la Poésie » s’est terminée dans l’immense église Saint-Paul aux multiples portes, avec un autre généreux poète, musicien, Étienne Pfender, et les jeunes poètes lauréats ou non du Prix de la Poésie de la Parole.
La Poésie n’est assurément pas une vieille dame ! Puisse-t-elle nous rendre visite souvent !
Agathe Bischoff-Morales
Strasbourg, ce 8 mai 2022
- Vous pouvez entendre la double conférence
de Philippe François et Jacqueline Assaël :
"Qu'y a-t-il de protestant dans la poésie?" en cliquant ici
Petite anthologie personnelle
du Festival de poésie spirituelle de Strasbourg.
Quelques textes que je ne voudrais pas oublier...
par Jacqueline Assaël
Un Festival de poésie est l'occasion d'entendre des textes, d'en découvrir et d'en créer, car le contact avec les autres poètes est souvent fécond.
À ce propos, j'ai été heureuse de rencontrer au cours de ce Festival de poésie spirituelle de Strasbourg, Colette Nys-Mazure, poète bien connue, spécialement dans le domaine de la poésie chrétienne, qui a animé, avec toute la générosité de son expérience personnelle et un professionnalisme plein de discrétion, un atelier d'écriture dans lequel elle a permis aux participants de se découvrir eux-mêmes, à travers leurs paysages préférés et un imaginaire de leur prénom, et de vivre ainsi l'abondance des dons d'une existence en littérature.
Pour ma part, je souhaiterais graver dans ma mémoire tout au moins des bribes de textes que j'ai découverts à l'occasion des délibérations du jury ayant opéré pour décerner le prix Poètes de la parole:
Bien sûr les "Pigments de vie" de Kevin Burt, qui a remporté cette édition:
Ciel toilé
Bleu de nuit
D’une profondeur
Imitant l’infini...
et aussi ces extraits de Lydia Lehmann:
Famine dans l’âme
craquelée
la peau de mon cœur
[...]
De tout mon désespoir
je choisis
de te croire
Mais aussi ces images vives et dynamiques de Beatriz Brotto:
Les nuées allongées par le vent,
comme des ailes ouvrant le ciel:
l'essor de la Terre.
ou cette strophe, dans le même esprit:
Daignerais-je concevoir le langage des aubes,
par lequel les oiseaux sont enseignés,
et alors moi aussi je comprendrais la force
de chaque lever de soleil.
Et puis Lucie Wateau, auditrice de la double conférence, avec qui nous avons beaucoup parlé de poésie nous a offert un poème écrit au soir du premier jour du Festival:
Sur la page bleue
du désir
le sceau de ta bouche.
La rumeur des ans
se mêle
au silence redouté
de ta présence .
Tel qui se dresse
vers Toi
Nu
et dans un cri
en ta lumière
soudain
s’accomplit.
J'ai encore à lire les recueils de Dominique Zins, qui exposait ses livres aux côtés des éditions Jas sauvages, dans l'Église Saint-Paul, Journal d l'aube, et Dans le flux sans âge:
Voir mourir
De soi l'image,
D'un espoir déçu,
D'un rêve inabouti,
Aspirée de l'intérieur,
Tirée des profondeurs.
Voir le masque se décomposer,
L'Homme naître de ses lambeaux.
(Journal de l'aube)
C'est tout cela un festival de poésie. Des gestes et des mots qui demeurent.
Carrousel: Déambulation poétique dans Grasse; Soirée : 20 ans de poésie d'Yves Ughes à la Villa Fragonard; idem; l'entrée monumentale et poétique des jardins de la Villa Fragonard; Étienne Pfender au violon; Verena Dietrich au piano; Martine Lecoq; Ingrid Brunstein; Olivier Millet; Christian Davaine devant un panneau de l'Expoésie.
(voir le carrousel et les annonces ci-dessous)
Jacqueline Assaël animera un café-rencontre
"La spiritualité de Jean de La Fontaine est-elle une fable?"
On fera un récital partagé de lecture de fables sur le thème du repas.
Alain Piolot
en bonne compagnie
Photographie: Alain Piolot
Toute la collection "Prièmes" !
Photographie: Michel Block
*
pour entendre l'émission radiophonique, veuillez cliquer ici
Plusieurs livres sont présentés sous forme de sketches,
écrits par Annie Coudène, Yves Ughes et Jacqueline Assaël
et interprétés par Annie Coudène et Jacqueline Assaël
POUR ÉCOUTER, CLIQUER ici
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3 jours de poésie de la foi ininterrompue
Compte tenu des événements, le Printemps des poètes a été reporté à l'automne.
La date sera fixée prochainement.
À propos de Je m'appelle Jean de La Fontaine, d'Alain Piolot
Lire en cliquant ici l'article du Forum Protestant
et à propos du recueil d'Yves Ughes, à défaut de se faire, cliquer ici
Entendre ici l'émission de Radio Dialogue
et lire ci-dessous l'article de Raphaël Georgy dans Réforme
Dans le désordre: Jacqueline Assaël, Christian Barbéry, Janine Belfils, Chantal Roemer, Pierre Stoll, Yves Ughes et la pianiste Takako qui a illustré musicalement les textes
Il nous parlait de Dieu
sous le soleil
il nous parlait de Dieu
dans la Chapelle
il nous parlait de son pays
il nous parlait de lui, de nous,
de l'arbre à palabres
l'arbre a grandi
il est parti
parler de Dieu
sous d'autres cieux
l'arbre a grandi
Dieu nous parle toujours
sous l'arbre à palabres
Chantal Roemer
oh! pas celle du chef
une matinée qui s'annonçait rasoir
et pof! plein de vie, sans fantôme,
sans bâillement, sans... mais oui
bon sang
vivant sans façon ni tronçon,
autrement dit sans tambour ni
trompette. Un coup de mistral biblique dans
la tête
en quelque sorte, eh oui comme quoi
tout arrive....
Mais le clou du truc le truc quoi, oui
le truc mais pas le machin le truc
Ah vous ne voyez pas? Le Japon
dans la Bible! Ça c'est un truc
Un vrai de vrai. Surprise!
des haïku théologiques. Si mon pauvre
grand-père avait entendu, comment
est-ce possible? Il aurait dit: "Je veux
bien que le monde change mais Dieu
quand même...!
Espace Magnan
8 boulevard Magnan
13009 Marseille
Présentation du recueil de Nicolas Dieterlé, Trouées de lumière
par les poètes
Yves Ughes et Jacqueline Assaël
Lectures par Danielle Hutter
Trouées de lumière,
a été publié sur le site de l'association Podio,
le 27 août 2020, par Yves Ughes.
Vous pouvez le lire en cliquant ici.
Pour entendre une présentation des éditions Jas sauvages, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous:
sur Radio Dialogue RCF
Septembre 2020
Au micro d'Amaury Guillem
et une émission sur Mystère et beauté de la poésie et de la prière, avec Sarah Brunel, sur RCF:
cliquer ici
Dans un très beau message sensible et profond, elle ne s'est pas contentée de célébrer les poètes du passé, mais elle a montré la continuité de la culture protestante en faisant dialoguer les textes de Théodore de Bèze et ceux de Michel Block.
Pour lire sa prédication, il vous suffit de cliquer ici et de télécharger son texte.
À la suite de la présentation des éditions Jas sauvages dans la paroisse ÉPUF d'Aubagne, le 9 juin, des haïku bibliques à la manière d'Étienne Pfender ont fleuri. En voici deux ci-dessous. Les autres poèmes créés lors de cette séance peuvent aussi être lus sur ce site, dans la rubrique des amis des éditions Jas sauvages. Cliquer ici
Roberto Beltrami
(1 Rois, 19)
Collectif
(Matthieu 4)
voir le programme sur la page suivante du site
Photographies du Festival PoiéMa 2019 © Olivier Hutter
Photographie n°1: Sibylle Klumpp ouvrant le festival; n°2: Jacqueline Assaël introduisant les diverses séquences du festival: n° 3: première veillée poétique (Marc Di Pasquale au piano; Annie Chape-Bliek, Jacqueline Assaël, Florence Blieck, Christian Apothéloz); n° 4: un public attentif; n° 5: séance lecture: Silvia Ill, Ingrid Brunstein-Bielitz, Christian Davaine; n° 6: agapes; n° 7: Jacqueline Assaël et Bernard Rordorf; n° 8: conférence de Christian Davaine; n° 9: la harpiste Élyane Girard et Silvia Ill; n° 10: deuxième veillée poétique (Silvia Ill, Francine Carrillo et Françoise Contrepas); n° 11: le public toujours aussi attentif; n° 12: Après-midi poétique (Jacqueline Assaël, Michel Block et Olivier Raoul-Duval); n° 13: Élyane Girard et sa harpe; n° 14: au stand des livres Hélène Demange (éditions Jas sauvages) et Françoise Contrepas (librairie Saint Paul Siloë).
Les actions et points de vue des éditions Jas sauvages
Cliquez ci-dessous:
TEXTE PARU SUR LE FORUM PROTESTANT (10 MARS 2019)
ou cliquer ci-dessous
Conception du logo des éditions Jas sauvages:
Denis Chassagne, Architecte